Les violences perpétrées par les gangs dans plusieurs quartiers de la capitale haïtienne, en particulier dans les zones défavorisées, ont contraint de nombreuses écoles à fermer leurs portes, privant ainsi beaucoup d’enfants de leur droit fondamental à l’éducation. Des établissements scolaires situés dans des secteurs comme Nazon, Lalue et l’avenue Poupelard ont dû cesser leurs activités ou se déplacer vers d’autres zones, telles que Delmas et Pétion-Ville. Certaines écoles ont même définitivement arrêté de fonctionner, laissant les élèves et leurs familles dans une situation désespérée.