Il a noté dans ses carnets ce vers de Corneille : « Je ne hais point la vie, et j’en aime l’usage/ Mais sans attachement qui sente l’esclavage » (Polyeucte, V, II). Marc Bloch, en octobre 1940, réfléchit alors à la vie, à la guerre, à l’histoire, dans sa maison de Fougères, une belle bâtisse aux volets bordeaux bordée