La diffusion de vidéos violentes est un sujet sensible, lors des audiences terroristes, et fait souvent l’objet d’âpres débats. Au deuxième jour du procès des geôliers de l’organisation Etat islamique (EI), mardi 18 février, deux séquences devaient être projetées devant la cour d’assises spéciale de Paris pour illustrer le récit d’un enquêteur sur les sévices subis