Richard lui aussi demeure un vrai aboutissement de cette lignée de musiciens qui a surgi dans le contexte de remue-ménage et de prospections tonales des années 1980-90 ; lesquels ont été déterminants dans son éclosion. Et dont il a expérimenté les tâtonnements en témoin privilégié. Pour avoir grandi dans un climat infatué de vibrations tonales et de lyrisme. Et de pouvoir performer enfant avec papa. Lequel assuré des possibilités de son rejeton lui donne un keyboard à l’âge de neuf ans. En plus d’avoir pour consanguin un certain cousin du nom de Alan Cavé, déjà vedette à part entière de cette époque ; qui lui a inspiré de plus amples aventures. En fait, d’un entourage qui lui permet d’entamer de fructueuses initiations aux claviers et autres instruments. Aussi que d’un flair vocal qui l’autorise à sillonner tant d’approches multidirectionnelles. Tout en le dotant d’élan et d’atouts pour faire office de pourvoyeur.